C'est 11,5% de moins qu'en 2005, annonce le gouvernement, qui veut maintenir la "pression" en matière de sécurité routière.
A la veille de l'un des week-ends les plus chargés des vacances d'été, le ministre de l'Ecologie en charge des transports Jean-Louis Borloo annonce vendredi 13 juillet qu'il maintiendra la "pression" sur la sécurité routière, malgré la baisse de 11,5% du nombre de personnes tuées sur les routes depuis juin 2006.
En 2006, 4.709 personnes ont perdu la vie dans des accidents de la route, soit 11,5% de moins qu'en 2005. "C'est toujours inacceptable, même s'il y a eu 5.318 décès en 2005", fait remarquer le ministre dans une interview publiée par Le Parisien/Aujourd'hui en France.
"Il ne faut pas donner l'impression que l'on relâche la pression", déclare Jean-Louis Borloo, se félicitant de la "baisse significative de moins 11,5% du nombre de morts".
Renforcement des contrôles
Le nombre de blessés est en baisse de 5,5%. "Certains chiffres sont terrifiants. Pour une personne morte sur la route, environ vingt sont blessées, dont quatre restent handicapées", note toutefois Jean-Louis Borloo.
Interrogé sur la baisse éventuelle du taux d'alcool autorisé de 0,5 à 0,2g/l, le ministre estime que "plus on baissera, mieux ce sera", même si, ajoute-t-il "ce n'est pas la priorité la plus urgente"
A propos du renforcement des contrôles, Jean-Louis Borloo n'entend "pas non plus baisser la garde" et annonce que son ministère s'est fixé comme "objectif ambitieux" la présence de 2.000 radars d'ici la fin de l'année alors qu'on en compte actuellement un peu plus de 1.500 fixes ou embarqués le long des routes. (AP)
Bonjour !
En quelques mots, j'aimerai vous marquer mon étonnement de ne voir nulle part mentionnée une des causes majeures du nombre effrayant de tués ou accidentés de la route :
La racine en est un Code de la Route inhumain, je m'explique : alors qu'à chaque route ou modification réalisées, nous connaissons -statistiquement soit scientifiquement- la dangerosité de certains angles, carrefours, ou autres, il est encore admis que ce ne sera qu'après un certain quotat de victimes que seront débloqués les fonds pour modifier la signalisation ou en apporter une adaptée !
J'ignore le texte de loi qui en fait mention mais je laisse aux soins d'un juriste de s'y pencher.
Licitement,
Une citoyenne musulmane (Par les temps qui courrent, etc Sourire)
Rédigé par : | 14 août 2007 à 20:18