Le 5 novembre 2002, une collision en chaîne a impliqué 58 véhicules sur l’autoroute A10. La catastrophe a fait 9 tués et 40 blessés. Tous les conducteurs ont déclaré qu’ils avaient été surpris par un nuage de fumée très épaisse et sentant le brûler. Cinq ans plus tard, de nombreuses questions restent sans réponses.
Pourquoi les pouvoirs publics n’ont-ils pas tirés les conséquences d’un précédent accident s’étant produit au même endroit onze mois plus tôt avec le même nuage de fumée ? Pourquoi la société d’autoroute n’a t-elle pas amélioré les dispositifs d’information sur ce secteur ? Pourquoi l’usine de carbonisation située à 4km de l’accident n’a t-elle pas mis en place les dispositifs nécessaires pour réduire ses émissions de fumée ? Pourquoi la Justice n’a t-elle mis en examen que les automobilistes ?
L’Association « Victimes et Citoyens contre l’insécurité routière » déplore que l’absence au procès de la société d’autoroute et ainsi que celle de l’usine voisine ne permettent de faire toute la lumière sur cette catastrophe.
Les victimes de l’A10 et leurs familles ont peu de chances de voir la vérité sorties du procès qui s’ouvre aujourd’hui à Poitiers (86). Et surtout rien ne garantit qu’une nouvelle catastrophe ne se produise à l’avenir.
J'ai été victimes d'une roue de semi remoarque sans le semi-remorque, en juillet 2006, je ne suis toujours pas consolidée,j'ai porté plainte pour être entendu 4 mois après et avec difficultés, les gendarmes se sont occupés du camion à un bon km de là, c'est un automobiliste qui a appelé les secours, le lendemain ,ils ont répondu " que cen'était pas de la faute du camionneur! j'ai du réclamé par lettre au procureur une expertise du camion, dont je n'ai jamais entendu parlé, je n'ai jamais vu le conducteur du semi remorque responsable qui a déclaré l'accident six mois plus tard. Je ne pense pas qu'il ait même perdu des points. H bloch
Rédigé par : | 29 février 2008 à 15:42