Le nombre de tués sur les routes françaises a connu une brutale augmentation par rapport à janvier 2006.
"Nous avons de mauvais chiffres en janvier 2007", a reconnu mardi le ministre des Transports Dominique Perben. Le premier mois de 2007 a été marqué par des hausses de 2% des accidents, de 3,1% du nombre de blessés et de 13,9% du nombre de tués, selon les chiffres donnés par le ministre des Transports.
Il a précisé que l'augmentation des morts était répartie "sur l'ensemble du territoire" et pas concentrée comme de coutume sur les zones urbaines. Le principal facteur de risques semble être la "ré-augmentation de la vitesse", a-t-il fait valoir.
3 mesures
Le ministre a annoncé trois mesures: une réunion avec les associations mercredi après-midi au ministère à Paris après une conférence de presse qui détaillera ces chiffres; une réunion dans les jours à venir avec les acteurs de la sécurité routière dans chaque département sous l'égide des préfets; le lancement d'une "campagne de contrôles très stricts" pour les vacances de février qui va démarrer samedi en relation avec le ministère de l'Intérieur.
Dominique Perben en a appelé "solennellement à une prise de responsabilité de chacun pour rompre ce mauvais début d'année", espérant que "l'approche des élections n'est pas la cause de ce relâchement" et mettant a priori hors de cause les intempéries. Il a aussi "demandé à chacun des candidats à la présidentielle d'être extrêmement clair dans son refus d'une amnistie" des infractions routières "pour éviter un relâchement".
Il a précisé que l'augmentation des morts était répartie "sur l'ensemble du territoire" et pas concentrée comme de coutume sur les zones urbaines. Le principal facteur de risques semble être la "ré-augmentation de la vitesse", a-t-il fait valoir.
3 mesures
Le ministre a annoncé trois mesures: une réunion avec les associations mercredi après-midi au ministère à Paris après une conférence de presse qui détaillera ces chiffres; une réunion dans les jours à venir avec les acteurs de la sécurité routière dans chaque département sous l'égide des préfets; le lancement d'une "campagne de contrôles très stricts" pour les vacances de février qui va démarrer samedi en relation avec le ministère de l'Intérieur.
Dominique Perben en a appelé "solennellement à une prise de responsabilité de chacun pour rompre ce mauvais début d'année", espérant que "l'approche des élections n'est pas la cause de ce relâchement" et mettant a priori hors de cause les intempéries. Il a aussi "demandé à chacun des candidats à la présidentielle d'être extrêmement clair dans son refus d'une amnistie" des infractions routières "pour éviter un relâchement".
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